domingo, 15 de octubre de 2023

PCTE C1 sur l'éducation, sujet et modèles, un grand merci à Pilar, Tobías et Montse


 

SUJET : « L’éducation forme le caractère, renforce l’esprit, augmente les connaissances et nous rend indépendants. L’éducation dissipe l’ignorance et nous donne l’occasion d’utiliser nos potentiels de manière optimale. » Or, de nos jours l’éducation est en crise. Ses dysfonctionnements poussent les parents à bouder l’école publique, entraine un échec et un décrochage scolaires. Vous parlerez dans un premier temps des principaux problèmes présents à l’école pour ensuite proposer des idées pour remettre sur pied le système éducatif fondé sur l’égalité des chances de votre pays.

+/- 200 mots


RÉDACTION 1

            Je me demande chaque début de cursus scolaire si l’on a appris quelque chose de l’expérience obtenue l’année dernière. Parce que chaque septembre le ministre de l’éducation et les directeurs de lycées, de collèges et toutes les personnes liées à la formation de nos enfants et de nos jeunes parlent des mêmes problèmes sans les résoudre.

            À mon avis, les principaux problèmes présents à l’école sont les suivants : le harcèlement scolaire (favorisé par l´anonymat des réseaux sociaux), le décrochage scolaire , la discrimination par le port des signes religieux comme l´abaya.

            En plus, le manque de valeurs comme le respect des étudiants envers les professeurs et entre eux, est la cause pour laquelle la violence est présente à l´école (aussi bien publique que privée).

            Surtout, le fait que l’Internet soit à la portée de tous les élèves, c´est la plus inquiétante préoccupation des parents et des professeurs.

            Aujourd´hui on n´est pas capable d’établir des règles pour le contrôler.

            Maintenant, nous voulons l’intégration de tous les étudiants, même ceux qui ont des problèmes de santé mentale (autisme, TDH, etc.) ou ceux qui sont sourds par exemple ; cependant il n’y a pas d´aide experte pour le professeur qui est responsable de la classe. 

            Heureusement, je pense qu´il y a des solutions à l´avenir.

            D´un côté, le Gouvernement doit créer des lois liées aux enfants irrespectueux.

            D´un autre côté, il faut que les lycées et les autres établissements aient une nouvelle équipe de personnes spécialisées ; c’est-à-dire : des psychologues, des avocats, des professeurs, des parents. Ils s’occuperont de parler avec toutes les parties concernées pour essayer de les résoudre.

            Bref, plus de respect et plus de communication et faire davantage pour améliorer l’éducation de nos jeunes.


RÉDACTION 2

Les problèmes du système éducatif espagnol et quelques solutions possibles

Du plus loin qu’il m’en souvienne, l’éducation a été en crise, mais les problèmes n’ont pas toujours été les mêmes. Chaque fois où on a pu en résoudre certains, d’autres sont apparus. Ce n’est, malgré tout, aucune excuse pour ne pas essayer de les solutionner.

 

À mon avis, le système éducatif espagnol se base sur trois points fragiles en ce moment, peu importe l’ordre : la distribution géographique, la rigidité et l’ancienneté de son contenu et la finance liée aux besoins réels.

 

L’Espagne est un pays très vaste, avec une orographie très complexe et une très basse densité de population. Les conséquences sont qu’on peut trouver des classes avec plus de trente enfants dans certaines régions comme la capitale et, en même temps, des enfants qui doivent voyager pendant presqu’une heure pour aller à l’école ayant moins de dix élèves. 

 

D’un autre côté, les matières données et la façon d’évaluer les enfants datent du siècle dernier. Ce fait devient particulièrement clair si on compare notre système avec d’autres, comme celui du Danemark ou de Singapour.

 

Finalement, cette crise éducative doit être comprise dans le contexte d’une crise économique qui n’arrive pas à disparaître. Les ressources sont insuffisantes et, selon plusieurs économistes, mal partagées et investies.

 

Si je devais proposer des solutions, je pense qu’il aurait d’abord besoin de consulter des personnes expertes en éducation et, si possible, visiter d’autres pays pour explorer leurs méthodes.

Les difficultés concernant la géographie espagnole sont complètement en-dehors de mes compétences, je n’ai donc aucune idée pour les approcher. Par contre, on pourrait mettre à jour les contenus inculqués en incluant de nouvelles matières comme des travaux manuels ou les finances personnelles. Une option alternative serait d’introduire des nouvelles méthodes d’évaluation numériques. Je pense aussi qu’une prédiction et une planification correspondante seraient nécessaires pour faire de notre éducation une référence mondiale et surtout un choix de préférence entre nous-mêmes, les Espagnols, pour le futur des prochaines générations.


RÉDACTION 3

Selon moi, l’éducation est l’aspect le plus important auquel il faut penser car de notre éducation dépend notre développement futur comme adultes. Et je défends une école publique, gratuite et universelle, bien qu’elle soit en crise aujourd’hui.

L’un des principaux problèmes, c’est que chaque année il y a de nombreux postes de travail pour les professeurs qui sont éliminés. En plus, la moitié de ceux qui travaillent dans l’école publique ont un travail de courte durée et ils doivent, parfois pendant le cours scolaire, changer de poste et de ville.

Mais il existe d’autres problèmes comme les classes surpeuplées d’élèves, la mauvaise formation des enseignants qui pourrait être améliorée ou le manque de moyens pour pouvoir offrir une éducation de qualité.

Cependant, je continue à considérer l’école publique comme la meilleure façon d’éduquer. Il faudrait, quand même, si on peut, résoudre les inconvénients que j’ai expliqués auparavant. J’ai beau réfléchir, je ne trouve pas de solution facile pour le faire.

D’abord, l’investissement en éducation doit augmenter. Ce n’est pas facile en Espagne parce que l’éducation est gérée par différentes administrations dans tout le territoire. Il faut aussi augmenter le nombre de professeurs chaque année pour couvrir les postes vacants. Ça nous permettra d’avoir un nombre d’élèves adapté aux cours.

Mais, surtout, il faudrait que nos politiciens pensent que l’éducation doit être le sujet le plus important dans leurs discours politiques.

À mon avis, celle-ci serait la question principale pour laquelle le système espagnol d’éducation pourrait se renforcer.