Sujet rédaction 2 niveau intermédiaire

Bien-être et santé

Les fêtes de fin d´année viennent de terminer. Vous participez à un forum de santé et bien-être où vous parlez des avantages et des inconvénients des repas familiaux. Vous donnez également des conseils pour retrouver la forme après les repas trop copieux et des bonnes résolutions pour la nouvelle année.
+/- 150 mots

Modèle rédaction int.1

lDe: ampsss@gmail.com

Á:        pierre@yahoo.es

Objet:  Vivre en colocation

            Salut Pierre!

            Il y a 3 mois que je vis en colocation à Paris. J'ai trouvé l'appartement sur la site internet “logement partagé”.

            L'appart est au Centre Ville, par contre il n'a pas d'ascenseur, au cinquième étage!

            Le loyer inclut les charges locatives.

            Nous sommes 5 colocataires, 3 filles et 2 garçons. D'abord, je pensais que ça pourrait être un cohabitation difficile, mais (les autres sont jeunes) quand je suis arrivée, les colocataires m'ont communiqué des informations sur les règles des tâches ménagères:

            Il faut que chacun range sa propre chambre, se fasse le repas, lave son linge, repasse...

            Tandis que pour nettoyer les salles de bains, la cuisine et le séjour nous avons une femme de ménage deux jours par semaine.

            C'est interdit: de faire du bruit, des fêtes, de fumer.

            Le week-end, nous nous retrouvons, si c'est possible le samedi matin, pour nous raconter les problèmes entre nous et apporter quelques idées.

            Maintenant, je pense que les hommes sont plus accueillants que les femmes, par contre ils sont un peu irresponsables. Peu importe la nationalité.

            Á mon avis, on peut dire pour l'instant que l'expérience est enrichissante pour moi.

            Á bientôt, bises,   A.

Correction rédaction intermedio 1 - la colocation

ORTHOGRAPHE

Un Canadien. Mon ami canadien.

Parce que

Chacun /chacune chaque élève

Par semaine

Par exemple

Finalement

L´exercice

appartement

GRAMMAIRE:

Je vais ____au_____ Mexique

Jouer _de la _____ guitare / jouer ____au___ tennis

Un grand appartement

Nous nous sommes BEAUCOUP amusés

Quand + futur (quand tu viendras)

Passer x temps à faire qqch (je passe mon temps à lire)

J´espère que + indicatif (j´espère que tu vas bien)

Être content DE, proposer DE,

Tu marches trop vite / tu es rapide

C´est mon meilleur voyage (bon)

C´est mieux que rien.(bien)

Il n´y a aucun problème.

PEU/TROP/BEAUCOUP … DE/D´

Se promener, se balader DANS les rues, dans la ville, dans le parc.

J´ai de bonnes nouvelles.

                  (adj) (nom)

J´ai des amis  / j´ai d´ autres amis

LEXIQUE

Rendre visite à qqun / aller voir qqun

Tout le monde = tous les gens

Mes colocataires viennent du monde entier/ je voudrais voyager dans le monde entier.

Nous sommes tous avec nos amis parisiens

Merci Eva pour ce joli vidéo sur Paris (Zaz et Pablo Alborán)

En dessin

Les dessins des lecteurs du journal Le MondePortfolio des dessins d’hommage des lecteurs du quotidien de référence en France.

Un peu d’interculturel avec Joann Sfar
L’auteur du Chat du Rabbin livre ses réflexions à chaud et en dessins.

Parler à ma toute petite fille, Sasha, avec Terreur GraphiqueOu comment parler à son bébé…

La presse française

L’éditorial d’Edwy Plénel, « La peur est notre ennemie » (Médiapart)

L’éditorial de Laurent Joffrin, « Tuer le bonheur » (Libération)

L’éditorial d’Alexis Brézel, « Gagner la guerre » (Le Figaro)

À écouter

Madonna chante la vie en rosePendant son concert à Stockholm vendredi 13 novembre au soir, la star internationale a chanté la célèbre chanson d’Édith Piaf, accompagnée de son seul ukulélé et de ses larmes versées.

Le chant des partisans, par ZebdaLa chanson de la Résistance pendant la Deuxième guerre mondiale. Des mots qui résonnent encore plus fort aujourd’hui.

Une playlist : Paris est toujours une fête…Dimanche soir, à 19h, les Parisiens étaient invités à ouvrir leurs fenêtres et à monter le volume pour écouter ces musiques

L´école à la conférence de D.Foenkinos

Modèles de correction de la rédaction d´octobre niveau avancé 1

Le samedi chez maman

Ils sont impossibles à oublier ces jours joyeux. J’habitais chez mes parents et le weekend j’étais celui qui se levait le plus tard. Les doux draps bleus rendaient impossible à les quitter plus tôt. Ma mère était déjà en train de préparer le repas. Il ne fallait pas trop avancer vers la cuisine pour être capable de sentir les odeurs délicieuses qui en sortaient. Je commençais à descendre les grands escaliers pour arriver au-rez-de-chaussée de la maison. Dès que j’étais plus proche, cette bonne odeur s’intensifiait et j’avais encore plus envie de goûter la « fabada » que ma mère cuisinait. J’attendais impatiemment et mettais la table rapidement pour ne pas perdre du temps précieux lorsque le plat serait prêt. Finalement, maman apparaissait avec la grande casserole grise qui dégageait cette odeur enivrante. Après que toute notre tablée avait été servie, je commençais à manger ce mélange incroyable entre la douce texture des haricots blancs et le goût intense du chorizo et de tous les autres types de  viande qu’on y ajoute. Définitivement, il n’y a aucune autre place au monde où l’on mange aussi bien que chez maman.

Écrit par Josué

LA DERNIÈRE PAGE, UN GRAND PETIT PLAISIR

C’est pendant l’enfance que l´on commence à éprouver de petits plaisirs qui nous accompagnent au fil des années. Ce sont des impressions indéfinissables qui nous récompensent de lourds soucis quotidiens et qui, à la fin, rendent la vie plus agréable à tous ceux qui ont eu l’immense chance de découvrir la valeur extraordinaire des choses insaisissables.

Tel est le cas par exemple de la dernière page d’un bon roman, un plaisir incontestable. Cette page, qui nous attend tout le temps sans regretter sa position, devient une tentation dès que les premières pages ont capté notre intérêt.  C’est la page qui met à l’épreuve la volonté de ne pas tricher avec la promesse d’un dénouement inimaginable. 

Après le point final, on dit au revoir au monde dans lequel on a été plongé. Peu importe que ces jours soient pluvieux ou pas, parce que l’auteur nous a fait habiter dans un autre paysage exclusif où, sans le savoir, on a été l’invité silencieux et privilégié qui a eu l’opportunité exceptionnelle de connaître le secret final.

Ma première expérience avec l’aromathérapie

Ça fait longtemps, mais je m’en souviens comme si c’était hier. Madrid, quartier de l’Almudena, Rue Atocha. José et moi, vraiment fatigués après une dure semaine de stress, de bruits de bureau, des montagnes de papiers qui n’arrivent pas à être escaladés. On était préparés, avec nos maillots de bain, pieds nus, et moi, un chignon sur la tête.

Tout était vapeur. Obscurité presque profonde, sauf pour la faible lumière des bougies qui nous permettait d’entrevoir la citerne centenaire, arabe. La première des thermes était la plus tiède, mais la suivante était très chaude, ma préférée. Le seul bruit dans la grande salle était provoquée par un filet d’eau qui cassait la lisse surface de la piscine.

Je me rappelle de la belle sensation du contacte de l’eau sur ma peau. L’humidité chargée d’une odeur douce, de fruits, de cannelle. De la proximité de José, qui avait ses yeux fermés, un bref frôlement pour sentir sa chair de poule, excitée par l’excès de chaleur et le plaisir du calme.

Après un massage avec d’huile essentielle aromatisée au romarin. C’était simplement sédatif, exotique, une de ces choses qu’il faut expérimenter avant de mourir. Et pour finir le rituel, du thé marocain, thé vert avec de la menthe, vraiment frais. Et franchement, très nécessaire pour sortir de cet endroit, parce que, après cette expérience complète, on ne pouvait pas bouger un doigt !